« Sometimes I'm not so sure just who I am either. »
Ellen Hopkins
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Victoire Miura - Des bêtes sous des masques
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Victoire Miura - Des bêtes sous des masques
Victoire Miura
Messages : 6
Date d'inscription : 02/04/2021
Feat : OC by me
Féminin
Métier/Etudes : Parfumeuse
Victoire Miura
Admin ▬ Cheffe des Obake + Parfumeuse-Créatrice



Mer 28 Avr 2021 - 18:10
Victoire Miura - Des bêtes sous des masques  Nazj

Victoire Miura


Identité

Nom : Miura
Prénom : Victoire (Prénom surnaturel imprononçable pour l'humain)
Surnom : Vic - Viky - Foxy - La reine rousse - L'Alpha

Sexe : Féminin
Age physique : 28 - 30 ans
Age réel :35 000 ans
Race : Obake - Kitsune Géant
Groupe : Surnaturel

Nationalité :Japonaise
Origines : Européenne - Sang Pur
Métier: Parfumeuse-créatrice
Situation financière : Aisée


Feat : OC by me

Physique

Victoire Miura - Des bêtes sous des masques  PSTY4ZI
C'est drôle de voir comme même sous une forme humanoïde, Victoire rappelle un renard. Évidemment parce qu'elle est rousse, ses cheveux courts formant presque une auréole rouge autour de son visage, et parce que ses yeux, entre le brun et le doré, lancent des petits regards saccadés autour d'elle quand elle reste immobile trop longtemps. Il y a aussi son nez, sûrement cassé il y a quelques décennies ou quelques siècles, qui évoque presque un museau, surtout avec son habitude de renifler plus ou moins discrètement tout autour d'elle.

Elle est plus musclée que la moyenne, et son palmarès de cicatrices prouve que son entraînement n'est pas fondé sur des considérations esthétiques : trois impactes de balles dans le dos, une cicatrice de couteau sur l'épaule, une autre sur les côtes, sous le sein droit. Et elle a dû en faire disparaître beaucoup, au prix de quelques années de vie.

Mais elle a sa « peau d'humain » comme elle l'appelle, pour cacher ses cicatrices un peu incongrues pour une parfumeuse. Des cols roulés gris ou brun en cachemire, des vestes blanches ou beiges, des pantalons droits. Elle a un style plus occidental qu'oriental, mais stricte, réussissant malgré tout à ce noyer dans la masse.

Caractère



Taciturne -
Avoir passée deux milles ans terrée seule au fond d'une forêt a habitué Victoire au silence, celui autour d'elle comme le sien. Partager ce qu'elle ressent ne lui vient pas naturellement, et certainement pas par la parole : la façon dont son dos se tord, ou l'orientation de son bassin quand elle croise les jambes sont bien plus révélateurs de ce qu'elle pense ou ressent que les mots, qu'elle manie maladroitement dans certains aspects de sa vie. Beaucoup de  subtilités du langage humain lui semblent n'être que des fioritures dont elle peut se passer. La vérité, c'est que ce sont toutes ces fioritures qui rendent quelqu'un chaleureux et humain.

Misanthrope -
Victoire ne croit pas en l'humain. Ni en son génie, ni en son évolution, ni en sa survie. Les instincts sont ce qui maintiennent en vie, et les Homo sapiens semblent avoir trop perdus des leurs pour être ne serait-ce que capables de ne pas détruire leur propre habitat. Malgré tout le mal qu'ils ont pu faire aux surnaturels, elle aurait pu leur pardonner s'ils s'étaient avérés être des successeurs dignes. Mais ils ne sont qu'un ratage.

Déesse -
Elle est le parfait équilibre entre mégalomane et justicière, en plein numéro d'équilibriste. Ses décisions sont aussi juste que possibles, tentant de fédérer les obakes. Mais sa confiance envers ses propres décisions est inébranlable. L'Alpha frôle le god-complex, certaine d'être la plus apte à diriger la meute, et loin d'être prête à abandonner son rôle.

Esthète -
L'art est peut-être la seule chose qu'elle reconnaîtrait aux humains. Mêmes s'ils restent des représentations des névroses humaines, les statues, les tableaux, les mots, l'apaisent. Elle les aime et les collectionne, c'est absolument inutile, et c'est sûrement à ce moment là qu'elle s'approche le plus d'une humaine.

Instincts -
C'est eux qu'elle a décidé de suivre, sur eux qu'elle bâtit une réflexion liant rationnel et émotionnel, pour mieux assurer la survie des siens, et des surnaturels en général. Ils sont trop ancrés en elle pour qu'elle puisse espérer s'en débarrasser, et elle a même finit par les embrasser, refusant le monde et le fonctionnement humain.



Histoire


XX siècles av. J.-C. - Japon
Elle l'avait rencontré au bord d'une forêt. Une toute petite chose sur deux pattes, avec des écailles noires et une peau sombre, des bois étranges sur la tête. Et des grands yeux dorés. Il n'avait pas d'odeur de peur, alors elle c'était approchée, curieuse, jusqu'à ce que la toute petite chose se torde, et fasse exploser la parcelle d'herbe devant elle. La renarde avait violemment reculée de plusieurs pas, la toute petite chose était tombée en arrière dans le même temps. Et elle avait commencée à pleurer. Alors la renarde était revenue, consolant la toute petite chose, l'installant près d'elle, et attendant jusqu'à ce qu'une ombre arrive.

XIIème siècles - Principauté de Kiev
Elle... Était si ancienne que ça ? Il ne lui avait pas semblé... Ni ça, ni que le temps passé si vite...

Fin XIIème siècles - Kiev
Le corps humain n'était pas fait pour survivre. C'était une dégénérescence, un raté, même pas capable de s'accoucher lui-même. Si elle avait pu redevenir un renard, si seulement elle avait pu s'isoler au fond d'un nid, mettre bas calmement, avec un corps qu'elle connaissait, qu'elle utilisait, qu'elle maîtrisait.

Valerya sentit quelque chose se fendre en elle, et elle se cambra en hurlant. Son pied parti dans le visage de quelqu'un, avant qu'il ne soit doucement, mais fermement remis en place.

Elle avait survécu à une vie difficile, à une guerre, à la chasse des humains, et avait même réussi à s'intégrer dans leur société et à s'y faire une place.
Et elle allait mourir d'un accouchement.

 Début XIIIème siècles - Kiev                   
Elle n'espérait rien de lui. Il finirait de toutes façons comme son père, comme tous les hommes de ce monde, et elle n'avait pas envie de lutter contre cette fatalité.
Elle l'avait confié à une nourrice, et profitait maintenant du repos de ne plus être rien, sauf peut-être une chose oubliée, à qui on ne se donnait même plus la peine d'infliger le devoir conjugal.
Valerya devait devenir une pierre parmi celles de cette demeure, quelque chose de si insignifiant qu'un jour, elle pourrait disparaître avec le vent froid, sans que personne ne la voit.

XIIIème siècles - Japon
Son cœur l'avait assourdi sur tout le chemin qui les avait amené à cet espace dégagé au milieu d'une forêt. Elle était entourée d'un groupe d'hommes qui n'aimaient ni sa présence, ni l'idée de la laisser repartir vivante, et elle ne parlait même pas leur langue, devant se fier à la sincérité d'un interprète comprenant à peine le russe.

En voyant l'actuel chef de la meute commencer à défaire la ceinture de son kimono, elle s'attaqua aux trop nombreuses attaches de sa robe. Rapidement, un homme se détacha du groupe et prit les vêtements du chef avec lui, et Valerya se retrouva avec l'attention goguenarde d'une quinzaine d'hommes sur elle, de légers rires commençant à circuler dans le groupe, alors qu'elle réussissait enfin à se glisser en dehors des multiples couches de tissus de sa robe.

Elle s'avança face au chef, gardant une distance de presque six mètres entre eux. Il était imposant, pas très grand, mais un mélange de muscle et de gras. Et elle, avait été rendu plus minuscule encore par un voyage compliqué.

Derrière elle, Valerya entendit un homme hurler, et comprit rapidement en voyant la silhouette du chef lentement changer pour se rapprocher de celle d'un ours. Immédiatement, elle chargea.


À trois mètres de lui, elle lança son masque d'humain sur le côté. Son corps géant avait à peine finit d’entièrement se transformer, que ses mâchoires étaient grandes ouvertes. Et elle les referma dans un craquement violent.

Le corps de l'ours fut emporté dans l'élan de la renarde, tâchant son pelage avant de tomber inerte sur le côté.

Valerya revint sur ses pas, lente, de lourdes gouttes de sang glissant d'entre ses crocs, alors qu'elle s'approchait du groupe d'obakes immobiles, une odeur de peur et de désarrois les entourant. Elle pencha doucement son museau vers eux, et ouvrit la gueule pour recracher la tête de l'ours, qui s'écrasa devant eux.

La renarde resta immobile, les pattes arrières légèrement fléchies, pendant quelques secondes encore, presque sûre qu'un d'eux au moins tenterait de l'attaquer. Mais sa silhouette de quatre mètres et sa prestation avaient dû les dissuader de tenter de l'éliminer trop frontalement. L'un d'eux ramassa la tête de l'ours pour la serrer doucement contre lui, avant qu'un autre ne se précipite vers le corps. Le reste du groupe suivit, et Valerya se retransforma en silence, haussant un sourcil en voyant l’interprète à côté de ses affaires.
Apparemment, il avait choisi son camp.

1978 - Japon
« On va tomber du pont !
- Arrête d'être une poule mouillée, on- !
- Taisez-vous là-haut. »

Le silence se fit sous le bonnet enfermant les cheveux roux de Victoire, alors qu'elle avançait sur le pont menant à l'arbre monde, les dents serrées sous la douleur irradiant dans son dos. Elle réussit à entrer plus discrètement que d'habitude : les enfants surnaturels se crispèrent en sentant sa présence, mais les adultes et les seniors ne la reconnurent pas, et elle se faufila aussi rapidement que possible vers le bar, cherchant du regard un serveur en particulier.

« Huang ! »

Derrière le bar, une silhouette dans une veste de kimono noire se retourna, découvrant une tête d'argile tout aussi sombre, avec un drôle de nez remontant.

« Bonjour Victoire. Que puis-je faire pour toi ? »

L'obake leva discrètement un doigt vers son bonnet, articulant doucement :

« J'ai trouvé des amis à toi. »

La théière yixing sembla perdue pendant quelques secondes, avant d'abonner le torchon entre ses mains pour faire rapidement le tour du bar, posant doucement une main sur l'omoplate de Victoire pour la guider avec lui.

« Où est-ce que tu les as trouvés ? Ils vont bien ? Ils sont blessés ? »

Elle grimaça légèrement, et passa la porte que Huang venait de lui ouvrir, entrant dans ce qui semblait être une salle de repos pour les serveurs.

« Ils vont bien, où je les ai trouvés, c'est plus compliqué... »

Victoire s'approcha d'une table en retirant son bonnet, reprenant soin d'enfermer les trois cartouches dans le tissu, ses cheveux gonflés et en désordre formant une couronne autour de sa tête. Elle posa les cartouches sur la table, et les libéra finalement, en regardant une sortir rapidement de sous le tissu, et lever la tête vers elle et Huang.

« Vous êtes qui vous ?!
- Chut le bout de métal, sinon je te broie. Va chercher tes deux frères là-dessous.»

Chuchota l'obake, regardant la petite cartouche repartir sous le bonnet en grommelant.

« C'est... Une fratrie ? »

Intervint Huang, tirant une chaise pour Victoire et une autre pour lui. L'Alpha osa les épaules, s'asseyant consciencieusement, sans appuyer son dos, la tête un peu tournante.

« Ils ont été tirés par la même personne, avec la même arme, et ils sont devenus conscience au même endroit. C'est tout ce que je sais. »

La théière yixing hocha la tête, et regarda la cartouche énervée ressortir de sous le bonnet en tenant la main à une autre semblant réticente, une troisième les suivants avec un air réservé.

« Voilà !
- Merci. »

Huang se pencha pour observer les cartouches, un air étonné sur le visage.

«Ils... N'ont pas l'air affectés par ton aura... Et pourtant, ils sont tout jeunes...»

L'obake tourna la tête avec un haussement d'épaule, espérant que le plus bavard des trois se tairait...

« Évidemment qu'on le sent ! Mais au bout d'un moment, à force d'en bouffer tous les jours, on s'habitue... »

La renarde ferma les yeux avec une expiration fatiguée, anticipant déjà les questions.

« Victoire, ils sont avec toi depuis longtemps ?
- Bah oui, ça fait longtemps qu'on la voit elle, on était dans son dos ! »

Elle sentit le regard d'Huang se relever sur elle, et soupira plus franchement en le regardant en retour.

« Je me suis fait tirer dessus en Allemagne il y a quelques siècles. J'ai enfin extrait les balles ce matin. 
- Ho... »

Même si elle ne disait rien, la théière semblait perturbée, et lançait des petits regards discrets au dos de l'obake.

« J'ai désinfecté et bandé mes plaies. »

Huang hocha la tête, avant d'ajouter :

« Les cartouches... Sont en argent...
- C'étaient des chasseurs. Ils m'ont pris pour un loup-garous. »

Il hocha la tête, et se concentra sur les cartouches, essayant de faire parler la deuxième qui semble timide et presque sur la défensive pendant quelques minutes, avant que Victoire ne se lève doucement.

« Tu t'en vas ?
- Oui, je dois parler à Athi.
- Attends, ton bonnet ! »

Elle tourna la tête pour regarder les trois cartouches en train de se chamailler, et son bonnet à côté.

« Laisse-leur. »


Année 90 - Japon
Eiko était brillante. Différemment de Victoire, complètement même – individualiste, excentrique assumée, chaotique, mais d'une façon qui attirait l'Alpha entre ses crocs de vampire. C'était une psychologie qu'elle avait toujours détestée, surtout chez l'humain, mais Eiko la maniait différemment : sans égoïsme et bassesse, simplement avec une philosophie rationnelle, réfléchit, échappant aux standards que Victoire avait jamais pu voir. Une logique de la destruction, de l'instabilité et du changement perpétuel pour quelque chose de mieux après – peut-être. L'idée que c'était l'inactivité, l'habitude et la routine qui finissaient par tout gangrener.

Elles n'avaient pas été amantes. Il manquait la possibilité d'une cohésion future pour que Victoire puisse se lancer dans cette relation. Mais elles avaient été quelque chose l'une pour l'autre, assez pour qu'Eiko demande à Victoire de leur assemblée chacune une fiole de parfum à base d'un peu de sang de l'autre.


2012 - Japon
Victoire fixait l'homme en face d'elle depuis plusieurs minutes, de l'autre côté de la table en verre, les bras croisés et l'air indifférent. Enfoncé de plusieurs centimètres dans le canapé blanc du salon, Corrin les surveillait du coin de l’œil, semblant plus tendu que d'habitude. À croire qu'elle n'était pas assez indifférente à la situation pour que son aura n'en soin pas impacté.

Elle replaça une mèche derrière son oreille, et se décida à parler, utilisant un vieux Russe qui ne lui avait pas manqué.

« Alors. »

Le jeune homme en face d'elle ne répondit pas, les muscles de la mâchoire se tendant sous la colère contenue. Il la détestait, et elle le lui rendait tout autant.

« Si tu n'as rien à dire, je crois que je vais te mettre dehors.
- Je suis venu de Russie pour te parler...
- Je ne t'ai pas demandé de venir.
- J'ai dû enquêter pendant des années pour te retrouver !
- Grand bien t'en face.
- Est-ce que tu pourrais me dire autre chose que des saloperies ! »

La voix de l'homme avait vibrée dans tout l'appartement. Corrin redressa la tête, un grognement rampant immédiatement d'entre ses crocs et ses babines retroussés, avant que Vic de l'apaise d'un regard en coin et d'un battement de paupière. Puis elle retourna la tête vers l'homme, décroisant les bras pour les poser sur les accoudoirs de son siège, s'installant plus confortablement contre le dossier, le menton légèrement plus haut, les yeux plus plissés.

« Je n'ai rien d'autre à te dire, Vassily. »

Elle vit dans ses yeux bleus qu'elle l'avait blessé, au moins vexé. Elle doutait que ce genre d'égo puisse être blessé par quelqu'un qu'il connaissait à peine.

« Tu pensais que j'allais t’accueillir à bras ouverts ? Te remercier de m'avoir retrouvé, et te dire que je regrettais d'avoir disparu ? Ma conscience ne m'a jamais travaillée assez fort pour ça.
- Je pensais qu'une mère accueillerait mieux son enfant. »

Victoire osa un sourcil au fond de son siège, se redressant lentement pour se pencher en avant, les deux coudes appuyés sur la table, les doigts croisés, et son regard froid comme un scalpel.

« Qu'est-ce qui fait une mère ? L'amour qu'elle porte à son enfant ? Ce qu'elle a affronté et sacrifié pour lui ?
- Tu es ma mère.
- Ta génitrice. »

Elle vit la mâchoire de Vassily se tendre avant qu'il ne se lève de son siège, rangeant ses mains dans ses poches, et commençant à piétiner sur deux mètres, étant accueilli par un grognement chaque fois qu'il s'approchait trop près du canapé.

« Alors je suis censé faire quoi maintenant ?! Hein ?! »

Il se tourna violemment vers elle, pour la regarder avec ce qui s'approchait au plus du désespoir, des mèches rousses s'étant échappé de la queue-de-cheval sur sa nuque, et coulant maintenant le long de ses joues ou de son front.

L'Alpha prit le temps de le regarder, cherchant une réponse sincère.

« Continuer ta vie. Je n'en ai jamais été une partie, soyons honnête. Je ne vais pas en devenir une maintenant. Je ne te définis pas, je ne suis pas un déterminant dans ta vie. Tu devrais arrêter de penser à moi, peu importe combien de mois tu as pris à me chercher. »  



Masque


Masque d'humainMasque de renardMasque d'hirondelle



Don(s)


▬ Communiquer avec les animaux (★✩✩) :  En ayant été un pendant des millénaires, elle connaît leurs codes, leurs habitudes, leurs fonctionnements, prédateurs comme proies. Elle les comprend aussi bien sous sa forme animale qu'humaine, mais deux oreilles, des crocs et des babines sont plus efficaces pour communiquer avec eux.
▬ Invisibilité (★★✩) : Elle ne pourrait pas devenir invisible avec l'attention et des centaines d'yeux braqués sur elle, mais lorsque Victoire est seule, ou qu'elle arrive à se faire oublier, elle peut échapper aux regards, passer et slalomer entre eux. Elle peut se cogner contre les gens et les objets sans perdre son invisibilité, mais dés que quelqu'un comprend ce qu'il se passe, elle redevient visible pour cette personne. Il lui faut aussi échapper à l'attention pour pouvoir réapparaître naturellement.
▬ Manipulation du sang (★★★) : C'est son joker, sa dernière carte avant la mort, et elle n'a aucun contrôle sur ce don, qui tient plus de l'instinct s'activant de lui-même. Le sang encore liquide ou gluant qu'elle a perdu dans la dernière heure revient vers elle, assez vite pour déchiqueter et traverser les organismes au milieu de son chemin, assez intelligent pour contourner ou escalader la roche et le métal s'interposant entre lui et Victoire, et ce sur dix mètres autour d'elle. A ce jour, c'est un don qui ne s'est activé que trois fois, sur les deux derniers siècles. Victoire ignore s'il était là avant.



Et vous ?


.............. Heu.
Chaotic/Euca.riot sur discord.
Benjamine du staff entraînée dans l'épopée par un vieux dragon rouillé et tatoué.
Majeure et vaccinée 8D Et pas encore diplômée mais on y travaille
Et je dessine et j'écris. Et je soigne mon addiction à Among Us.

Si je disparais comme une sauvage, considérez que Victoire a été assassinée dans des circonstances pas claires (amusez vous les staffeux), et s'il n'y a pas de PJ qui pourrait/voudrait lui succéder, dites que sa succétion se passe très mal, et que ses seconds remettent sa décision en doute et sont en train de s'étriper pour savoir qui va prendre la tête de la meute.

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Vendeur de Masque
Messages : 72
Date d'inscription : 24/02/2021
Feat : Vendeur de Masque (A Whisker Away)
Autre / Ne pas divulguer
Lieu d'habitation : Arbre du Monde
Métier/Etudes : Vendeur de Masque
Vendeur de Masque
Maitre du Jeu



Mer 23 Juin 2021 - 20:38

Tu es validé !

Amuse-toi bien sur le forum !

Et OH MON DIEU, TU ES VALIDAY VIC (insérer jingle -HALLELUJAH-)

Que dire que dire sinon ? Eh bien que Vic a un sacré caractère  (je pense à un certain passage avec son pauvre fils xD). Maintenant que je réalise dans ton histoire le lien que tu as forgé avec les cartouches (j'ai tout compris pour Gin Very Happy), j'aime beaucoup l'idée xD
ET BÉBÉ KANA AVEC VIIIIC QUOIII, JE FONDS.

Bon, on regrette tout de même le manque de temps et la précipitation qui t'ont fait couper beaucoup (et les erreurs en orthographe que ça a engendré bien que ce ne soit rien de grave xD petite correction : pouf on oublie), tu forgeras tout ça en rp ^^
(Je reconnais cela dit que le job de chef te donne le fardeau d'écrire énormément pour comprendre les grandes lignes de ton histoire).

Dans tous les cas, on sent tout de même que Vic en a bavé pour en arriver là (et son god-complex, ya de quoi prendre la mouche quand on a du pedigree :3), ce pourquoi, voir ses problèmes familiaux ou son passé lui revenir à la tronche promet xD
Enfin, j'ai tout de même hâte de la voir déambuler en ville et engendrer ses diverses collection d’œuvre d'art xD (les œufs aussi n'oublions pas /PAN). On va souhaiter bien du courage à Vic et son entourage (Et Corrin).

Allez, files te dégourdir les pattes dans les vastes prairies inexistantes de Tokyo o/
Bon rp :3




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